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jesuswasmywife	Jeudi 5 Martalo 639 à 15h42
Dih Vigne Groupe : Membre /w *myrtille Serveur : Maimane Inscrit le 01/02/2009 Hors ligne	Bonjour (HRP: Diantre, que je suis egocentrique. Ecrire un texte dont mon unique personne est le protagoniste.) Ils se prénommaient Afachr et Wespoj, respectivement Eniripsa et Sadidette, habitants banales du monde des douze. L’un était un brave homme, petit par la taille, grand par la stupidité. Un modeste éleveur de bouftous vivant dans une piètre bicoque où il faisait tout de même bon de vivre par les rudes hivers amkéniens . L’autre était une femme aux jambes interminablement poilus, au sourire chatoyant dont la passion principale était la mystérieuse culture de verveine de hollande. Ils s’étaient rencontrés à un congrès sur les pigeons bicolores mangeur de chaire humaine. Leurs regards passionnés s’étaient entrecroisé entre deux gloussements piegonals et l’amour transperça leur chétif cœur impur. Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants. D’ailleurs quand je dits beaucoup … c’est littéralement une flopée de petits bambins qu’elle eût pondue. Du fait que leur passion commune pour les volatiles n’ouvrait pas beaucoup de perspectives de discussion, l’occupation que nos jeunes tourtereaux partageaient ne pouvait être autre que la copulation à profusion. Et c’est après 8 filles, 3 garçons et 1 hermaphrodite que nôtre héroïne naquit, un certain 32 Junaris à 22h86, dans une petite bourgade annexant Astrub au nom simplissime d'Armestonischnakatazokita . Myrtille. Ce nom lui est surement dut à l’affreuse couleur rouge/verdâtre qu’avait le bébé à sa naissance, ou peut-être à cause de ses grosses joues inégales et granuleuses qui plombaient son visage, qui sait. Elle fut donc éduquée dans la notion de partage – ou celle de devoir lutter pour pas qu’on lu mange son 4h, ça marche aussi. Une enfant élevée au bon grain et à l’air libre. Pourtant, un traumatisme effroyable vint un jour interrompre cette vie paisible et guillerette. Comme vous le savez, son paternel à pour passion les bouftous, des créatures puantes et, il faut le dire, tout à fait stupides et inutiles. Alors que Myrtille était en train d’ôter tranquillement les plumes d’un Tofu, chacun des cris de la bête dévoilant un sourire de satisfaction toujours plus grand sur le visage angélique et légèrement psychopathique de la petit – oui, elle était une enfant tout à fait équilibrée – un bouftou arriva derrière elle. Elle n’eut que le temps d’apercevoir ses yeux rouges sanguinolents que déjà il lui mangeait les orteils sous le bruit appétissant de l’os qui craque au contact des dents jaunâtres de la créature. Cette effroyables péripétie lui valut – outre le surnom de myrtille-aux-pieds mangés jusqu'à ses 16 ans- une révélation. Telle le la lumière perçant le gris ciel, telle l’apparition d’un Dieu dont elle ne connaissait pourtant rien, tel un esprit ouvert à idolâtrer la sainte et divine lumière. Oui, elle qui était destinée à une vie rural et monotone dans le brousse amkénienne, elle venait de donner son cœur et son corps au dieu le plus encaféiné du monde des 12. Elle avait la certitude que, plus jamais, elle ne souffrirait d’infâme morsures de bouftous en rute. Le temps passait et la fillette commençait à devenir un vaillante tueuse d’araknes. Elle s’entrainait vilement autour de chez elle sous les préceptes de son Dieu, cherchant à maitriser l’élément brulant qu’est le feu. Pourtant, plus elle avançait dans son entrainement , plus cette ardeur, cette fougue qu’apportait la flamme la dérangeait. D’un caractère posé, aimant simplement s’allonger dans l’herbe ou barboter dans une rivière peu tumultueuse, elle décida alors de changer complètement sa façon de combattre. Cela fut dur. Plusieurs années de travail pour se forger un caractère spécifique pour finalement tout recommencer. A présent, ce n’est pas en se bourrant d’armures qu’elle allait se protéger mais en rendant simplement l’ennemi impuissante, et cette idée plaisait à la sadique qui sommeillait encore en elle. Par des sorts ancestraux très puissant et une maitrise parfaite de son corps et son esprit, elle pouvait empêcher son adversaire de se mouvoir, ou d’exécutait une quelconque action. Myrtille jubilait, elle avait trouvée sa voie. (à suivre ... (quel suspense))
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