La Tragique Histoire de Lii'Ya Farix.
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Twigwi
Mercredi 26 Descendre 637 à 14h19#

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Au sein des Montagnes des Koalaks, dans le village des Eleveurs, un professeur donne un cours aux disciples de Crâ.

"Lii'Ya. Ce nom ne vous dira peut être rien. Pourtant sales marmots, c'est une des réprésentantes de notre peuple auprès des instances du clan d'Erinyes ! Souhaitez-vous en apprendre plus sur elle sales gamins ou préfèreriez-vous rester dans la plus âle ignorance qu'il puisse exister en ce bas monde ?"

Le veil homme fixait d'un oeil sadique ses élèves effrayés. Dans un sens, on peut comprendre leur peur, quel sentiment ressentiriez-vous si en face de vous se trouvait un vieil homme minsucule, bossu, à moitié aveugle, le visage marqué de séquelles horriblements pustuleuses d'une vieille maladie et qui adore vous regarder de son oeil quasi recouvert d'un voile blanc ?

"Alors gamins ? Personne pour écouter les propos d'un vieillard ?"

A l'instant ou le professeur venait de terminer sa phrase, l'air devint lourd, oppressant. La jour devint nuit, et dehors le vent venait de se lever, accompagné d'éclairs et d'un tonerre déchirant le ciel emplit de nuages. La porte s'ouvrit avec un fracas du diable, provoquant une panique extraordinaire chez les jeunes Crâs. A la place ou se tenait auparavant une vieille porte de bois massif, une silhouete se discerna : une forme efféminée, grande, sombre. L'intrusentra dans la classe, et le soelil réapparut. Maintenant, les élèves purent correctement décrire leur "hôte" : on ne pouvait voir que ses yeux, qui semblait appartenir à une jeune femme si l'on se fiait à leur éclat et leur beauté. Une toge noir masquait son corps des pieds aux épaules, une capuche rabattue lui recouvrait la tête. Son regard bleuté s'interemopit sur le bossu, terrorisé. La personne se dirigea vers l'estrade, s'y installa, et prit la parole :

"Pardonnez cette intrusion. Je me nomme Lii'Ya Farix, Maîtresse Erinyes."

Sur ces mots, les élèves se levèrent simultanéiment, et saluèrent leur invité. Leur professeur fit de même, et tous reprirent leur place.

"Si vous me le permettez, je vais vous raconter mes périples jsuqu'à aujourd'hui...
Je suis née dans ce village. Fille d'un maître d'armes et d'une alchimiste tous deux Crâs. Dès mes pemiers pas, mon père m'entraina dans son arène, et m'apprit les rudiments de base du combat de notre peuple. Durant une décennie, il entreprit de me faire tirer à l'arc. Sans succès malheureusement, à 17 ans je n'arrivait toujours pas à atteindre le coeur de la cible...
Mon père me blama de maintes fois, me menant la vie dure en m'obligeant à m'entrainer sans relache. Je l'entends encore me dire de me concentrer, car un Crâ qui ne sais tirer correctement n'est pas digne d'apartenir à ce peuple. Un soir de dispute concernant mon assasinat des bouftous apprivoisés alors que je tentais d'atteindre la cible, je m'enfuis de chez moi à l'improviste, laissant mon village natal derrière moi. Je me dirigeais vers le Nord, et mon périple m'avait obligé à traverser les lacs enchantés : la bas, je fit une terible découverte. Un cadavre se balancait sur un arbre, dévoré jusqu'a l'os par les Koalaks sauvages. En l'étudiant, j'en déduis qu'il s'agissait d'un Srâm. Me détournant de cette vision d'horreur, une lueur attira mes yeux. Sur l'herbe je trouvis deux curieuses armes blanches, recourbés, petites, ressemblant à des couteaux. A leur contact, je me sentis à l'aise, et je ne sais quelle folie me prit, j'ai commencé à m'entrainer au combat avec, face aux quelques Arakne et Moskito que je rencontrais en chemin.
Le lendemain matin, je suis rentré chez moi, présentant mes sincères excuses et en gages de bonne foi ma paire de couteaux. Mon père, s'il accepta les excuses refusa les armes que je lui portais, me disant que je les avais trouvé, et donc que je devais les garder.
J'entrepris alors de rencontrer le sage du village afin de savoir quelle était la nature de cette paire d'armes. Il ne put me dire qu'il s'agissait de dagues fabriqués avec les écailles des terribles Dragoeufs que l'on pouvait rencontrer plus à l'Est.
Je crus que mon père allait être déçu que je ne sache manier l'arc à 18 ans, et pourtant, il fut transporter de bonheur lorsqu'il put voir mon agilité dans le maniement de mes dagues. Seulement, je ne pus bénéficier de ces compliements peut de temps...
Le jour des mes 24 ans, de vils bandits de grands chemins entreprirent de piller mon village. Ils menèrent fort bien leurs intentions...Mon peuple et moi avions essayés de nous défendre, en vain, ils furent plus nombreux et plus organisés. Mes parents furent tués ce jour la, et je fus terriblement blessée pour ma part, ce qui me contraignit à prendre la fuite dans les montagnes. Je ne sais combien de temps j'ai marché, mais à mon départ, l'air était chaud, et lorsque je fus arrivée devant les fotifications d'une ville, le vent était froid, et me glaçait le sang. La seule vision que je pus me méormer par la suite avant mon évanouissement fut celle d'une silhouette féminine se penchant vers moi, me disant que j'allais m'en sortir.
A mon réveil, il neigait. J'étais allongée dans une pièce chauffée au feu de bois, dans un lit fort douillet. Mes vêtements avaient été rafistolé, et je pris la liberté d'essayer de me lever. A ma surprise, je ne souffrais plus. Je me suis habillée, et la porte de ma chambre s'ouvrit. Maintenant se trouvait en face de moi une jeune sacrieuse vêtue de rouge et d'un large chapeua de la même couleur. Je n'oublierais jamais son nom, Erèbe...
Oui, notre Générale Erinyes m'avais tirée des griffes de la mort, et en signe de gratitude, je lui offris mes services a tout jamais, jurant ce serment au nom de mes parents.
Dix ans plus tard, je pris quelques semaines de congés de mercenariat, et me mis à la recherche des assassins de mes parents. Ma quête de conduit au village des Brigandins, où ses habitants me menèrent à un cimetière. Là, ils m'expliquèrent que se tenaient les Brigans de Narkol, et me tendirent le registre des attaques qu'ils avaient menés auparavant. J'y retrouvis l'attaque menée contre mon village, et quelques mois plus tard, je découvris comment ils terminèrent dans ce cimetière : des Erinyes engagés par des familles ayant été dissoute par les Narkor les exterminèrent ici même. Lorsque je sus ceci, plus auncune barrière ne m'empêcherais de suivre Erebe et mes fidèles compagnons Erinyes dans leurs aventures, à tout jamais."

Les élèves chuchotèrent entre eux, puis le silence revint.

"J'espère vous avoir tout appris sur moi. Maintenant, veuillez m'excuser, mais j'ai à faire. Je vous remercie"

Elle salua la classe et le professeur, et tous firent de même. Lii'Ya s'en alla aussi furtivement qu'elle fut venue. Sur le chemin de retour, elle s'arrêta quelques instants auprès d'une tombe. Sur celle-ci, il était marqué :
"Ci-Git La Famille Farix"
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